mercredi 29 août 2007

Justice

Le débat politique porte actuellement surtout sur la justice. Pas vraiment surprenant de la part d'un gouvernement sécuritaire. Toutefois, dans le cas du ravisseur du petit Enis Kocakurt, il s'agit plus d'un problème de soins. La médecine dans les prisons laisse considérablement à désirer.

Il faudrait donc proposer divers contrôles:
1) un vrai lien entre médecins et juges (afin qu'on ne puisse plus fournir du viagra à des malades sexuels.)
2) un vrai traitement et un vrai suivi
3) Le droit des victimes d'être tenus au courant de ce traitement. (Donc contrôle supplémentaire.)

J'ai été cambriolée en décembre 2006 par un junkie. Tout ce que j'avais le droit de demander devant le tribunal, c'était de l'argent. Or, je voulais une seule chose: qu'il soit désintoxiqué afin de ne plus avoir besoin de cambrioler à sa sortie de prison pour payer sa drogue. Je suis donc partie furieuse, en claquant la porte.

Aucun commentaire: